Patrie, égalité et transmission de pensées

Les dérives de la transmission de pensées (télépathie) poussent, jusqu’à vouloir les justifier par le mépris des valeurs d’égalité républicaines et un prétendu amour du pays.

Se permettre de renverser les valeurs d’égalité républicaines est cependant un acte dirigé contre la république. Il est difficile d’affirmer que la violence et la lâcheté puissent anoblir au point de prétendre que ces valeurs d’égalité puissent être abolies. Tant soit peu qu’il y ait un réel anoblissement, ces valeurs d’égalité n’auraient pour seuls torts que d’élever tous les hommes à la même dignité et donc de s’exprimer d’une manière bien plus noble et généreuse.

Le mépris de ce qui fait la grandeur de la démocratie française est ainsi une indignité qui ne témoigne pas d’un réel amour du pays. Il relève de la pensée déraisonnable que ce qui est anormal, car violent, puisse rendre meilleur. Ces propos à l’encontre des valeurs d’égalité républicaines relèvent de l’infraction et sont discriminatoires.

Aimer sa patrie signifie d’en estimer les valeurs, l’histoire et la législation. Ne pas respecter les lois républicaines en se livrant aux dérives de la transmission de pensées ne relève pas du patriotisme. Il est question d’extrémisme politique.