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La liberté d’expression n’est limitée par la transmission de pensées (télépathie) que par rapport à la reconnaissance de l’existence de cette dernière. Sa nature est propre à n’être expérimentée que dans l’intériorité de nos consciences et à ne pas laisser de preuves immédiatement visibles de son existence. Elle nous intimide, lorsque nous nous heurtons à la nécessité de démontrer la pertinence de notre témoignage en l’absence de témoins.

Cependant, la transmission de pensées ne s’attaque pas qu’à notre liberté d’expression.

Les articles précédents avaient évoqué les violences liées aux dérives associées à l’apparition de ce phénomène. Celles-ci constituant des infractions définies par le code pénal, il peut être légitime de préférer porter plainte, pour le fait d’avoir été victime de ces agressions, plutôt que de répondre par la violence.

La restriction de notre liberté d’expression à l’encontre de ce phénomène accentue la pression psychologique, que celui-ci exerce sur nous au quotidien, lorsque s’impose à nous la nécessité de témoigner. L’obstacle psychologique est tel, que la liberté de travail des policiers, des avocats et des magistrats en subit des restrictions sévères.

La liberté de travail n’est pas la seule à être menacée par ce problème. La possibilité même d’une action collective pour demander à la justice de protéger nos droits et nos libertés est particulièrement mise à l’épreuve. Nos libertés d’association, de réunion et de manifestation sont elles-mêmes restreintes par la violence des dérives de la transmission de pensée. Une action dans le but de rassembler les témoignages de plusieurs personnes concernées serait ainsi difficile à envisager.

Ces contraintes exercées par la violence, déployée par la transmission de pensées, sur chacune de ces libertés sont constitutives d’une atteinte à la paix publique.

Tag(s) : #Libertés
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