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Les discriminations sont la conséquence directe du caractère agressif des dérives de la transmission de pensées (télépathie) à l’encontre de l’Etat de droit. Le fait de défavoriser ou de stigmatiser une personne en raison de ses mœurs, parce qu’elle n’est pas solidaire des dérives de la transmission de pensées, ou de son état de santé, consécutif à un acte de violence dû à ce problème, est un indice du caractère délibéré de l’agression. Ces discriminations prolongent sur le plan social les atteintes perpétrées contre l’intégrité psychique et physique de la personne. De cette manière, l’acte acquiert une plus forte connotation d’éradication sociale. Il permet d’une part, de souligner l’intention violente dissimulée derrière l’agression, d’autre part de faire un exemple pour les témoins de la situation, dans le but précis de les intimider.

L’action revêt ainsi une dimension politique forte, en ciblant les principes fondamentaux de l’Etat de droit. Par cette transgression des valeurs d’égalité républicaine, l’acte frappe notre démocratie au cœur même des principes sous-tendant notre attachement à la liberté.

L’intentionnalité caractérise l’agression. Son choix stratégique de vouloir frapper notre pays dans ce qui représente le plus ses valeurs et constitue le mieux son identité, est le signe que ces manœuvres inhumaines d’intimidation procèdent d’une entreprise individuelle ou collective.

Ces discriminations relèvent ainsi d’une stratégie d’intimidation psychologique. Elle a pour objectif l’entraînement collectif dans une même spirale de peur, d’obéissance et de violence, ainsi que de solidarité dans l’exercice de cette dernière. Le résultat recherché n’est autre qu’un large consensus en faveur de la déstabilisation de l’Etat.

La liberté d’expression ressort affaiblie par cette logique discriminatoire. En stigmatisant certaines personnes pour en faire des exemples, les discriminations intensifient l’incitation à la désempathie et la peur de vouloir parler du problème. La possibilité de parler sans réserve de la situation en est d’autant plus rendue difficilement accessible. La tentation d’attribuer à tort à la souffrance de l’individu, la raison selon laquelle il aurait été amené à imaginer qu’un complexe de persécution ait été dirigé contre lui, complexifie davantage la question.

Tag(s) : #Libertés
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