Dialogue et transmission de pensées

Face à l’intimidation exercée par les dérives de la transmission de pensées (télépathie), il est nécessaire de dialoguer. L’objet de ces articles n’est pas d’imposer une vérité, mais de présenter un point de vue sur la situation.

Discuter de ce problème relève de notre droit à la liberté d’expression. Tant que la question n’est pas soumise à la justice ou au débat public, nous conservons un droit d’envisager une discussion autour de celle-ci au sein de l’espace plus cloisonné d’un blog. Nous pouvons dialoguer de manière responsable, mais y conserver l’anonymat.

Nous devons aussi mettre des mots sur un phénomène qui nous affecte dans notre intériorité. A défaut de réunir des preuves de l’existence de la transmission de pensées, nous pouvons croiser nos témoignages. Ceci permettra d’initier une discussion sur le problème sur Internet. La possibilité de commenter les articles sera modérée, de manière à ce que les échanges demeurent à un niveau correct.

Les dérives de la transmission de pensées ont tendance à détruire le lien social. Il faut que nous puissions en discuter sans réserve, dans le respect de l’autre. Parler de la vérité est notre droit le plus strict, du moment que ce n'est pas attentatoire à l'honneur ou la réputation d'un tiers.

Il nous faut rompre le cercle vicieux de la peur et du silence initié par les dérives de la transmission de pensées. Certains d’entre nous ont peut-être déjà entendu parler de la transmission de pensées de manière plus ou moins implicite. Nous avons une liberté d’expression à l’égard de ce phénomène. Nous pouvons nous contenter de seulement en discuter comme le font ces personnes, ou choisir d’en parler de manière plus explicite, plus libre et plus morale.

Initier le dialogue au sein d’un blog peut n’être d’aucun intérêt en première approche, mais peut permettre d’ouvrir une voie vers la possibilité d’en débattre un jour publiquement.

La possibilité de faire remonter la question de la transmission de pensées dans le débat public pourra ouvrir des portes sur la possibilité d’envisager une action collective.